Muffins du mercredi

Mercredi, jour des enfants…
Activité cuisine aujourd’hui, et confection de muffins. 2 différents pour 2 filles, cela évite les bagarres.
muffins
Muffins très chocolat au cœur de framboise

Mélanger 75g de sucre et 40g de farine.
Par ailleurs, mélanger 70g de beurre et 70g de chocolat noir.
Battre 2 œufs en omelette.
Mélanger rapidement les œufs et le chocolat au beurre pour éviter que les œufs ne coagulent, puis le 1er mélange.
Répartir dans 6 moules à muffins et poser une framboise au centre, que l’on enfonce légèrement.
Cuire 20 minutes à 180°.
C’est divin et ça fait un bon dessert avec un café.

Muffins banane/avoine

Battre 2 œufs, 80g de sucre, 4 cuillères à soupe de lait, 2 cuillères à soupe d’huile.
Dans un autre bol, mélanger 125g de farine, 7g de levure, 125g de flocons d’avoine, une pincée de sel.
Mélanger les 2 puis ajouter 2 bananes écrasées au dernier moment.
Cuire à 180° durant 25 min.
C’est très bon et ça fait un bon goûter bien de bonne énergie.

Brownie d’anniversaire

Jeudi, nous avons mangé un brownie au resto, mais la part est chère et petite. Vendredi, pour l’anniversaire de l’Espionne, j’ai décidé d’en faire un moi-même, avec bougie et chantilly.
Comme nous sommes beaucoup au bureau, pour 14 personnes :

Mélanger 200g de beurre et 400g de chocolat (noir ou au lait, ou mixés) dans une casserole que l’on fait chauffer très doucement. Remuer fréquemment et retirer dès que le beurre fond. (Si l’on fait trop chauffer, le chocolat risque de merder… enfin… je ne trouve pas le terme…). Quand vous avez un mélange bien lisse, ajouter 250g de sucre et mélanger au fouet. Ajouter 8 œufs en battant entre chacun. Par là-dessus, verser 4 bonnes cuillères de farine. Quand le mélange est homogène, ajouter des noix (cerneaux divisés en petits morceaux) et/ou d’autres fruits secs.

Cuire à 160° durant 30 min (vérifier régulièrement, aucun four ne cuit pareil). Piquer pour confirmer la cuisson au centre. Un moule carré permet de servir des parts carrées ou rectangulaires, pas trop grosses quand même, c’est très nourrissant (sans oublier la chantilly).

BON ANNIVERSAIRE L’ESPIONNE !!!!

Muffins aux fruits rouges

« Maman, je t’ai cueilli des fraises/framboises/groseilles ! »
Dans la petite coupe, il n’y a qu’une poignée de fruits, environ 80g… à peu près 2 bouchées pour une seule personne. Alors pour savourer plus tranquillement et en famille cette récolte, vous pouvez faire une petite fournée de muffins, 10 muffins :
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Mélanger 60g de sucre et 100g de beurre mou. Ajouter 100g de farine et 1/2 sachet de levure. Quand le mélange est bien uniforme, ajouter 2 œufs entiers. Ajouter enfin les fruits en mélangeant très délicatement et cuire à 180° durant 30 à 35 minutes dans des moules à muffin.

Yaourts au carambar, yaourts aux bruns

En me baladant sur la blogosphère cuisine, je suis tombée sur le site Fofilcuisine qui m’a tout d’abord fait renoncé à me lancer dans les macarons. Après le pain, les macarons sont un de mes fantasmes. Faire sortir de mes mains et de mon four des macarons parfaits, j’en rêve. Mais le rêve peut se révéler inaccessible. Quand je vois que la température des mélanges est à 5° près, mouais… j’hésite quand même. Je m’énerve vite en cuisine quand ça rate. Et en ce moment, je m’énerve, globalement, je suis vénère… surtout au travail….

Et puis je suis tombée sur les yaourts du même site et notamment les yaourts au carambar ou ceux aux Petits Bruns. Hummmmm, ça m’a bien tenté et j’ai couru acheté les ingrédients nécessaires. Bien sûr, tout le monde à la maison a cru que j’avais perdu la raison… « Tu as acheté des carambars ????? » Question éberluée à la mère qui ne nourrit sa tribu que de légumes bios. Ensuite, un paquet entier de Bruns a été éliminé en 10 min avec le café.  J’ai dû menacer pour me garder de quoi tenter les yaourts convoités.

Il y a une semaine, j’ai tenté les premiers. Comme il me paraissait un peu osé de mettre 16 carambars pour 8 yaourts (sans compter le sucre !!!), j’ai mis seulement 12 carambars et pas de sucre en plus.
Dégustation…. Les 2 filles : « heu… nan, j’aime pas« , de toute façon, elles n’aiment rien sauf les fruits donc pas de panique. L’homme de la maison : « mouais… ben tu aurais dû suivre la recette, ça n’a pas beaucoup de goût là…  »
J’ai mangé mes yaourts.

Hier, je me suis lancé dans les yaourts aux Petits bruns, toute contente de cette nouvelle expérience. J’ai mis un paquet entier comme conseillé dans la recette (et lourdement suggéré par l’homme de maison) et le sucre en plus. Bref, un véritable sacrilège pour quelqu’un comme moi qui modère sa consommation de sucres.
Dégustation…. Les 2 filles : ah ben non, elles ne sont pas là ce soir… de toute façon, je connais déjà la réponse, ça ne m’intéresse pas. L’homme de la maison : « mouais…. tu ne voudrais pas plutôt te concentrer sur les yaourts nature ? »
C’est pas grave, allez, je vais les manger mes yaourts, moi j’aime bien.

Bande d’ingrats ! Demain, une soupe aux cailloux, du pain sec et des yaourts natures…. périmés !

Ps : je ne vous mets pas de photos hein, c’est un peu naze deux photos de yaourts beiges….

Tarte au chocolat très chocolat

J’avoue directement, je tiens d’Elle cette recette à réserver aux fanatiques du chocolat. Je ne l’ai pas inventée, mais ceci dit, j’apporte ici le témoignage de mon essai personnel de cette fantastique tarte et de mes petites adaptations personnelles.Pour commencer, faire une pâte à tarte de mamie (ou l’acheter, selon le temps et les compétences dont vous disposez). Ma grand-mère n’aurait jamais accepté que j’achète une pâte à tarte, allons-allons, ce n’est quand même pas difficile de mélanger 200g de farine, 100g de beurre et 50cl d’eau (et une pincée de sel), hein ! Si c’est difficile ?! Faut pas abuser quand même !
Pour les cinglées du régime, vous pouvez opter pour la pâte légère minute, mais là aussi, c’est abuser, car la partie chocolat est elle-même tellement calorique que ça ne changera pas grand chose. En plus, cette pâte donne un résultat feuilleté. En réalité, je pense qu’une pâte sablée serait encore le mieux avec :
250g de farine
125g de beurre
75g de sucre
1 œuf et une pincée de sel
Mixer le tout, laisser reposer une heure et étaler. Cette pâte s’étale moins bien que les 2 autres précédemment citées, mais on peut mettre des raponces* s’il y a des trous, ça se soudera sans problème à la cuisson.

tartochoco

Cette pâte se cuit à blanc durant 15 à 20 min (à 180°), en la piquant ou en plaçant des haricots secs pour éviter qu’elle cloque. Laisser refroidir.

Pendant ce temps, passons à la partie chocolat du travail.
Faire bouillir 20cl de crème liquide et 10cl de lait avec 50g de sucre, avec une cuillère de thé (Earl grey ou yogi tea choco aux épices, miam).. Arrêter et enlever du feu. Filtrer le thé après 2 min.
Casser en morceau 200g de chocolat (j’ai pris du noir, mais ça doit aussi se faire avec du chocolat au lait pour les hérétiques…). Mélanger, mélanger, mélanger, jusqu’à ce que le chocolat fonde et que le mélange soit lisse. Laisser tiédir 10 min.
Battre un œuf dans le mélange chocolat puis verser sur le fond de pâte.

Repasser au four à 150° durant 20 min.
Laisser tiédir à l’abri des regards, des mouches, des chats et des doigts des enfants.

C’est un dessert « lourd » à éviter après une raclette, mais bien après un repas léger ou au goûter.
* Pour les non franc-comtois, une raponce est un petit morceau rapporté pour combler un trou, dans un vêtement par exemple

Crèmes renversées à la vanille

Après une longue hésitation entre faire un peu de cuisine, ou du repassage, ou du rangement, ou de la couture, j’ai choisi. Un peu de cuisine aujourd’hui, et plus précisément, des crèmes renversées suite à une soudaine envie hier soir.caramel

Pour commencer, une crème renversée digne de ce nom doit avoir en son fonds un bon caramel. Et moi, je n’ai jamais fait de caramel. Premier challenge… Pour les quantités, je suis partie sur 70g de sucre et 4 cuillères d’eau, ce qui est déjà difficile en soit pour une anti-sucre comme moi. Mais en même temps, si un bon caramel est bon, c’est parce qu’il contient du sucre. J’ai fait chauffer puis bouillir ça jusqu’à ce que le mélange devienne blond. C’était à peine plus long que ce que j’aurais cru…
Erreur à ne pas commettre sur le caramel :
– utiliser du sucre roux (ce que j’ai fait la dernière fois) car il est drôlement plus difficile de voir à quel moment le roux devient blond… en fait, jamais…
– laisser blondir, blondir, blondir pour voir jusqu’où il peut être blond… car il vire au brun, trop dur et trop amère avant qu’on ait compris quoi que ce soit
– lécher la cuillère pour goûter la chose, car la température de ce mélange dépasse le supportable (mon cœur, combien de c° le caramel en cours ?)
– mettre le caramel en route et aller faire autre chose. En général, ça se termine avec un nuage noir dans la fumée et une casserole fichue.

Passons à la crème
.
Je pars direct sur un litre de lait, car je présuppose que ça va être très bon et qu’il ne va pas en rester. Je coupe en deux une gousse de vanille (dans la longueur, sinon c’est naze) et je gratte un peu avec la pointe du couteau pour en faire ressortir plein de petits grains noirs. Je laisse négligemment tomber les deux morceaux dans le lait et je fais bouillir cela. Dès que le lait bout, arrêter et laisser refroidir.
Si vous êtes bien concentrés, vous pouvez faire l’opération en même temps que le caramel, mais faut bien rester présent sur toutes les opérations (je m’adresse aux filles, bien sûr… et aux rares mecs qui peuvent faire plus d’une chose à la fois).

Battre 6 œufs avec 100g de sucre, puis verser un peu de lait tiède en battant. Si le lait est trop chaud, ou si vous battez mollement, il y a des risques que le jaune d’œuf coagule. Alors n’oubliez pas ce détail : lait tiède et main ferme sur le fouet. D’autre part, pensez à « passer » le lait, pour éviter de mettre les morceaux de gousse de vanille si la gousse s’est cassée en plusieurs petits morceaux (ça arrive avec les gousses trop sèches).
Mettre dans les pots (pots de yaourt en verre par exemple), au fond desquels vous avez mis le caramel et cuire au bain marie à 165° durant 1 heure.
Mettre au frais après tiédissement dans la cuisine. Bien planquer derrière d’autres trucs sinon ils vont disparaître tous seuls.

Le mystère des yaourts au chocolat réussis

Ah, le fantasme du yaourt au chocolat… Mille fois tenté, mille fois échoué. Non, je plaisante, certains y parviennent. D’autres jamais. Avec la même recette, exactement. Alors, qu’elle est donc l’astuce, le petit truc qui fait que ça marche ou que ça foire ?

Moi aussi j’adore les yaourts au chocolat, et j’adore le chocolat. C’est donc tout naturellement que j’ai voulu me lancer avec ma toute nouvelle seb issue des années 70 dans la confection de yaourts au chocolat.  Le principe est de faire un cacao chaud avec 1 litre de lait entier (chocolat et sucre, en tablette fondue, en poudre amer, en dosant le sucre suivant le goût).  Ensuite, on le mélange au yaourt, on met en pots, en yaourtière et hop comme d’habitude.

La 1ère fois, j’étais hyper impatiente de goûter. Ma fille commence « Beurk ! » Il y avait une première couche amère et granuleuse et seulement en dessus le yaourt. Bon, j’avoue, c’était pas bon, surtout la première couche, parce que le reste, j’aimais assez. J’ai mangé les 8 yaourts…
Le truc, c’est que j’avais mélangé le lait encore trop chaud et que le yaourt l’avait mal pris, en formant cette espèce de croûte granuleuse et dégueulasse au dessus.

Je recommence donc l’opération. J’utilise du Van Houten avec un peu de sucre en cassonade (+ un bâton de cannelle et 4 gouttes d’huile essentielle de vanille, c’est bonus). J’ai laissé refroidir mon lait chocolaté un bon moment, au moins 2 heures : il était à température ambiante quand j’ai battu avec le yaourt, mis en pots, en yaourtière, attendre 10h, mettre au frigo, attendre 2h (comme d’habitude quoi…).
Encore une fois, hyper impatiente de goûter. Ma fille commence « Beurk ! ». Beurk ? Je goûte moi-même personnellement et là, je découvre le yaourt que je voulais, délicieux, la douceur du chocolat sur une petite note d’acidité du yaourt, la perfection. Mes 2 filles et mon chéri détestent « Beurk ! » car je pense qu’ils s’attendaient à une crème au chocolat, ils attendaient du sucré, de la sensation régressive type danette. Donc, ils n’aiment pas et sont déçus. J’ai mangé les 8 yaourts.

En somme, je pense qu’il est là surtout le mystère des yaourts au chocolat. Avec le même produit au final, certains adorent, d’autres ont la sensation que c’est encore raté.
Je conseille donc aux becs sucrés, amateurs de chocolats au lait, aux noisettes, chocolat blanc et bonbons de laisser tomber les yaourts au chocolat pour des crèmes au chocolat.

Glace oranges et yaourt

Toujours pas de macarons à l’horizon alors que décembre arrive à sa fin…. mais encore une glace pour nouvel an !

3 oranges pressées, 2 yaourts, 3 cuillères de crème fraîche, 80g de sucre, un peu de cannelle (et en option 4 gouttes d’huile essentielle d’orange douce) bien mélangés au fouet et passés dans la sorbetière le temps nécessaire.

L’objectif est de le mettre au fond d’un moule à cake, recouvrir d’une couche de spéculoos en miettes, puis d’une autre glace, chocolat, banane, kiwi… J’hésite encore !

Le souci c’est que le mélange n’est pas très coloré… ça ressemble trop au citron ou à la vanille…

Gâteaux de la trinité

Petits gâteaux hyper simples, à faire avec les enfants sans aucun souci :

Mélanger à part égale 3 ingrédients, sucre, farine et crème. Donc, avec les enfants, facile de doser en tasses par exemple, une tasse de sucre, une de farine et une de crème. Mélanger. Cela fait un appareil un peu liquide. On place des cuillères sur une plaque à four (avec papier sulfurisé, ça facilitera…), assez espacé surtout la première fournée pour éviter que les gâteaux se chevauchent.

Laisser cuire à 200° jusqu’à ce que le bord du gâteau devienne brun clair. Il faut rester à côté du four, la cuisson est rapide et il ne faut pas trop les cuire. Avec le café, c’est sensationnel !

Vœux de décembre

Depuis un bon moment, j’ai envie de faire des macarons. Les macarons, c’est rond, c’est bon, mais ça a l’air difficile à réussir. Et mon problème, c’est que rater quelque chose, surtout si ça prend du temps, ça m’énerve et ça me mine le moral… Alors, j’hésite, je repousse, je manque des occasions…

J’ai trouvé sur Marmiton.org un article qui relate une expérience de confection de macarons et me voilà à souhaiter m’y mettre… En décembre ?