où acheter de la tisane comme celle que j’ai trouvé dans les sachets en vrac au bureau. J’ai trouvé les références et voilà à quoi ça ressemble. C’est la marque Milford et c’est une tisane trop trop bonne.
Si quelqu’un peut me dire où je peux la trouver, ça serait très sympa. Surtout que l’hiver approche en courant.
Catégorie : Détails pratiques
Sauce béchamel maison
Une recette pas si compliquée, et surtout bien meilleure si on la fait à la maison :
Pour faire la béchamel, faire fondre 50g de beurre dans une casserole à fond épais et ajouter 60g de farine. Tourner vivement. Cuire 2 à 3 minutes ce « blond roux ». Verser lentement du lait en fouettant vigoureusement au fouet jusqu’à élimination des grumeaux. Porter à ébullition en continuant de tourner. Laisser mijoter ou ajouter du lait pour arriver à la consistance souhaitée en remuant très fréquemment. Saler, poivrer + noix de muscade.
Prix :
50g de beurre : 0,3€
60g de farine : 0,1€
1/2l de lait : 0,3
le reste : 0,05€
soit 6 centimes d’euros
Faire son fromage ?
Faire les yaourts, ok.
Faire les entrées, les plats, les desserts, ok.
Le truc que je n’ai pas encore tenté, c’est de faire du fromage. J’ai fouiné, ça n’a pas l’air très compliqué, partant d’un litre de lait et de présure :
Univers nature explique comment faire le fromage.
Answer Yahoo et une discussion sur la manière de faire la faisselle.
Le forum Eco-bio avec une discussion sur le fromage blanc type faisselle.
Le forum de Super-toinette (la référence) et 2 discussions : le fromage blanc et le fromage maison.
Précision, le fromage blanc est la base du fromage.
Voilà un bon challenge pour la suite. Il me faudrait une chèvre dans le jardin…
Mais faire les macarons, j’ai laissé tombé pour l’instant.
Petits pots pour ma Lucie
Des blogs avec des recettes de petits pots maison, y’en a pas mal… je ne vais pas refaire ça, ça ne sert à rien et je recevrais des plaintes de vol de contenus. D’ailleurs, je n’ai pas besoin de piquer des idées chez les autres pour faire mon blog…
Quelques remarques quand même…
* Dans de nombreuses recettes, on ajoute quelques grains de sel dans les préparations. Ce n’est pas utile, et les reins des bébés ne sont pas prévus pour ça. N’en rajoutez pas et pensez que les bébés n’ont pas l’habitude comme nous de manger salé. Pour eux, il ne manque rien. Pareil pour le sucre… les fruits, si vous les prenez de saison et bien mûrs n’ont pas besoin de sucre en plus. Les enfants mangent bien assez sucré par la suite.
* Pour les compotes, il faut cuire les fruits dans pas mal d’eau. Les préparations doivent être assez liquides pour être bien mixées. Commencez à mixer les fruits égouttés, puis rajoutez l’eau de cuisson en fonction du besoin. Tous les fruits doivent être cuits ou au moins pochés. Les purées peuvent être allongées avec l’eau de cuisson ou un peu de lait maternisé.
* Les légumes peuvent préparés en mélangeant avec des pommes de terre et les fruits en mélangeant avec des pommes. Ainsi, vous avez des purées ou compotes plus douces (je pense par exemple aux navets qui sont assez costauds au niveau du goût ou les abricots, acides).
* Faire à manger tous les jours pour un bébé de 4 mois, en plus du reste de la famille, ça fait beaucoup, car les menus sont encore bien différents. Mais préparer une grosse quantité, du type 2 parts adultes, permettent de faire le repas de la journée et 5 ou 6 petits pots pour les semaines qui viennent !
Sur ce principe, vous pouvez composer selon les saisons et le choix du maraîcher avec :
A 4 mois :
Pommes
Poires
Abricots (pommes + abricots, c’est assez acide)
Bananes (pommes + bananes, c’est meilleur et de consistance moins gluante)
Carottes
Courgettes (+ un peu de riz pour la consistance)
Navets (+ pommes de terre)
Épinards (+ pommes de terre)
Salade verte (+ pommes de terre)
Potiron, potimarron (+ pommes de terre)
Vous avez déjà de quoi faire, de quoi varier les plaisirs pour le bébé. Un même fruit ou légume peut être donné 3 fois de suite la première fois. Les 1ères cuillères engendrent parfois des grimaces, mais ça semble normal : nouveau goût, nouvelle sensation, méfiance !
Les petits pots se congèlent très bien et je les garde au frigo frais durant 3 jours. J’utilise des pots à yaourt en verre avec couvercle et je colle des étiquettes avec du lait (le lait colle très bien, même s’il se décolle sitôt dans l’eau).
Yaourts, révisions
Je vois avec plaisir que nous sommes de plus en plus à faire nos propres yaourts, et c’est une bonne chose à 2 niveaux :
– on sait ce que l’on mange, pas d’additifs et yaourts bios maison faciles
– impeccable pour le pouvoir d’achat, il suffit d’un yaourt et d’un litre de lait pour en faire 8
Ma recette de base est hyper simple : un yaourt + un litre de lait entier
Mais je vois aussi que certains peinent à réussir les yaourts et rapportent des soucis tels que yaourts pas pris, « filandreux » etc… je fais donc un petit résumé de ce qu’il faut faire ou ne pas faire.
Il faut :
* prendre un yaourt dont la date de péremption est la plus lointaine possible
* mélanger le lait à température ambiante, surtout pas chaud, sinon il tue les levures. Si vous le faites chauffer pour infuser de la vanille, du café, du cacao, laissez le tempérer longtemps avant de le mélanger !
* utiliser un fouet en plastique et non en métal, il parait que le yaourt n’aime pas trop le métal (je n’ai pas d’explications scientifiques là…)
* prendre le temps : laissez-les prendre toute la nuit, toute la journée, 10h, puis 2h au frigo, ne soyez pas pressé
* douter éventuellement du bon fonctionnement du thermostat : les machines des années 70 ont quand même 30 ans, elles peuvent commencer à fatiguer
il ne faut pas :
* mettre les couvercles des yaourts dans la yaourtière
* bouger la yaourtière pendant la prise
* mettre la yaourtière vers un truc qui vibre (machine à laver, lave-vaisselle, machine à pain…)
* s’attendre à un yaourt aussi ferme qu’un classique, c’est plutôt entre ça et le velouté : c’est donc à peine plus difficile à manger pour les enfants mais c’est autrement bon
Et voilà mon petit résumé, pour en faire bon usage… Si vous aussi vous avez des précisions, n’hésitez pas !
Yaourts maison
A faire le soir pour laisser prendre toute la nuit :
Mélanger un yaourt nature (bio, ben oui, quitte à faire) avec 1l de lait (bio, of course !) entier et verser dans les pots. Mettre les pots dans la yaourtière, brancher, allumer et laisser prendre.
Le matin, fermer les pots, mettre au réfrigérateur mini 1 à 3 heures pour qu’ils soient bien-bien pris.
Faut bien admettre que ce n’est pas compliqué hein !
Faire ça avant la nuit permet que la yaourtière ne soit pas dérangée, ni bousculée, ne reçoivent pas de vibrations ou autres perturbations (machine à pain proche, mixeur, etc) : ça empêche que les yaourts prennent bien.
Désormais donc, 8 yaourts me coûtent 1 yaourt + 1 litre de lait, une façon de lutter contre les augmentation des produits de supermarché, qui compensent la flambée des prix de matières premières. Une autre façon aussi de manger mieux.
Sans compter que à partir de cette base, on peut faire des tonnes de choses plus originales, yaourts au citron, à la confiture, à la vanille, etc-etc…
Des croûtons dans la soupe !
Deux solutions :
– le garder pour des lapins, des chevaux et autres animaux qui apprécient
– le découper en cubes avant qu’il ne soit trop dur et le garder dans un récipient non fermé pour qu’il sèche bien
Cela permet d’avoir des croûtons pour mettre dans la soupe, sous la main au bon moment.
Seulement, quand on le met dans la soupe, le pain devient parfois tout mou tout de suite, et ça, je n’aime pas. Alors, 30 minutes avant de passer à table, je mets le pain dans une assiette qui passe au four, je fais couler 2 ou 3 cuillères à soupe d’huile d’olive et je fais chauffer Th 8, le temps qu’il dore.
Sortir du four et en mettre dans la soupe. Ils sont croustillants, beaucoup moins gras et moins salés que les croûtons du commerce. En plus, ça coûte moins cher, et ça recycle le vieux pain.
Des mois et des mois sans article… et maintenant, un vieux truc pour les croûtons, alors qu’on est déjà au printemps ! Pffff, n’importe quoi moi !
Projets pour juin
Entrées:
Cappuccino méditerranéen
Salades-plats :
Desserts :
Divines tartelettes
Carrés aux carottes
Étiquettes sur les pots
On ne colle pas n’importe quoi sur un pot !!!!! Combien de fois avons-nous passé 30 minutes à essayer de décoller une maudite étiquette, qui laisse au final d’immondes traces de colle sur le pot ? ça, c’est insupportable, et j’ai une méthode facile et bio pour coller les étiquettes :
Imprimer vos étiquettes, ou les réaliser à la main sur du papier normal (pas trop épais surtout). Il faut utiliser une encre qui ne coule pas (laser pour l’imprimante ou bille si on le fait à la main). Étaler votre étiquette face écrite contre la table. Humidifier le dos avec du lait (avec le doigt ou un pinceau) sur toute la surface. Coller contre pot.
Ben voilà, ça colle et pour longtemps, et sans colle !
Voilà, c’est ici !
Et à la demande générale, voici la photo de ma nouvelle cuisine. Finies les fleurs jaunes/oranges et vertes des années 70 ainsi que leurs tâches alimentaires de 30 ans d’âge !
Les murs est et ouest sont en lilas et nord/sud en pistache. De l’évier au four des carreaux protègent le mur, ainsi qu’au dessus des feux de cuisson.
La hotte qui s’était arrêtée il y a au moins 15 ans a été changée, mais je ne pense jamais à l’utiliser…
Sous l’horloge, je vais fixer une étagère dans le même style pour les rouleaux d’alu, essuie-mains, papier alimentaire. Encore en dessous trône ma home bread Moulinex.
J’ai viré la cafetière au profit d’une cafetière italienne qui se pose sur le gaz. Bref, quand c’est bien rangé, il y a de la place !